Tout musicien professionnel comme Jacques Greys (détenteur d'une licence de l'Ecole Normale de Musique de Paris) sait que le solfège est le fondement incontournable dans le processus de toute
éducation musicale. Mais tout est affaire de pédagogie.
Car le solfège réinventé par Jacques Greys est devenu une simple formalité totalement indolore. Tout simplement parce qu'il est intégré directement à une nouvelle notation spécifique au piano et
basée, elle, uniquement sur les doigtés. Ainsi, avec les seuls nombres 1 – 2 – 3 – 4 – 5, lesquels correspondent, dans l'ordre, au pouce – index – majeur – annulaire – auriculaire de chaque main,
on peut écrire (et donc lire) aussi bien du Haendel que du Bach, du Mozart que du Beethoven, du Chopin que du Schumann, du Fauré que du Debussy. Aussi bien, d'ailleurs,
qu'un blues ou un tango, une rumba qu'un boogie-woogie.
Voici donc le message que Jacques Greys adresse à tous (enfants, adolescents et adultes) : vous n'êtes en aucun cas musicalement inaptes. Si vous le pensez, vous vous trompez. Ou vous avez été
trompés. Cette méthode offre à chacun le loisir de jouer en jouant. Et, ce faisant, de se procurer – mais n’est-ce pas là l'essentiel ? – un plaisir immédiat et sans
cesse renouvelé.
La pédagogie du 21ème siècle sera ludique ou ne sera pas...